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LE BLOG DU CAC-FORMATIONS

hygiene

l'image de vos toilettes en entreprise....

22 Janvier 2024 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Blanchisserie, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène

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4 Novembre 2023 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers, #Entretien des locaux, #Hygiène

Personnel technique chargé de l’hygiène, de l’entretien des locaux et parfois de la blanchisserie ou du service des repas, l’agent d’entretien concourt également au bien-être relationnel des résidents.

 
 
 

On les appelait autrefois hommes et femmes de ménage. Mais leur dénomination a autant évolué que leurs compétences et responsabilités, et on compte une multitude de désignations désormais : agent de service intérieur, de bionettoyage, parfois même de désinfection ou hôtelier.Présents dans tous les établissements sociaux et médico-sociaux, les personnels d’entretien concourent à l’hygiène et à la qualité du service, à travers leurs interventions techniques mais aussi par leur présence auprès des résidents.

 Un métier de soin... la base de la qualité d'accueil dans un établissement

Ce métier fait appel à de l'organisation,mais également à des repères chronologie,temps,espace,mais aussi à des postures et à des attitudes (tenue, discretion, clientèle, résidents...)

C’est pourquoi les employeurs doivent leur apporter de solides bases à travers la formation. » Connaissance des normes et procédures, maîtrise des gestes techniques, de l’utilisation des produits et du matériel (autolaveuse, monobrosse…),  « Il est important de bien professionnaliser ce métier, d’autant que la réglementation évolue »   « Cela passe par les responsabilités qui leur sont données, en matière d’approvisionnement, de maîtrise des consommations, la possibilité de suggérer des changements de procédure ou d’organisation, ainsi que par la reconnaissance de leur place dans l’équipe ».

Toutes nos formations et leur suivi sont animées ,encadrées par des professionnels de terrain,sans gêner le fonctionnement habituel du service.Ces formations se déroulant à 90% sur le terrain habituel des stagiaires.

Un conseil, un projet de formation ?,n'hésitez pas à nous contacter:  hygiqualcontact@gmail.com

 

 

 

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sources You tube

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1/5eme du linge de collectivités en France est traité par des ESAT: L'expérience confirmée

25 Octobre 2023 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Blanchisserie, #Hygiène, #Moniteurs d'ateliers

La bonne gestion des textiles est de première importance dans les établissements de santé.
Vecteur de propreté, elle favorise la sécurité sanitaire et leur image de marque. Cette
fonction est toutefois dispendieuse : elle peut absorber plus de 2% du budget d’un hôpital et
plus de 4% de celui d’un EHPAD.1
◼ En matière de propreté textile, les établissements ont pour obligation de « bien-faire ». Ils
ont pour cela trois options : « faire seul », « faire avec » et « faire faire ». Une majorité
d’hôpitaux entretiennent une gestion interne du linge en dépit de petits volumes (« faire
seul »). Ainsi, 80% des blanchisseries hospitalières seraient en deçà du seuil de rentabilité.
Pour favoriser les gains d’efficience, les autorités encouragent donc la mutualisation des
capacités (« faire avec »). Enfin, les établissements de santé peuvent externaliser
totalement l’activité de blanchisserie auprès de prestataires privés (« faire faire »). Seuls
20% des hôpitaux français ont effectué ce choix. Pour comparaison, cette part est de 80% en
Europe.
◼ Les blanchisseries hospitalières supportent des coûts d’exploitation fortement disparates.
Ils s’établissent le plus souvent entre 1 et 2 euros par kg de linge lavé, avec une moyenne à
1,6 euro. Pour une production quotidienne de 5 tonnes, cela représente un coût annuel de 2
millions d’euros. A l’échelle du pays, la dépense annuelle d’exploitation avoisine 600
millions d’euros.
Coût d’exploitation moyen
1,6 € /kg de linge
Coût d’exploitation national
600 M€ /an
◼ Ce coût moyen au kilogramme de linge s’avère supérieur d’au moins 25% à celui des
blanchisseries privées.
◼ Les coûts sont inversement corrélés aux volumes. Suivant une analyse régionale, lorsque les
quantités de linge s’accroissent d’une tonne, la dépense unitaire s’abaisse de 0,15 centime.
Cela représente 10% du coût moyen sectoriel.   Une question, un projet de formation,conseil? contactez -nous Hygiqualcontact@gmail.com
◼ Toutes nos formations Blanchisserie sont sur notre site cac-formations.fr

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Vous croyez avoir tout vu sur la saleté ? Éteignez la lumière pour voir plus clair !

19 Août 2023 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Blanchisserie, #Hygiène, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire

 
 
Des jeux pédagogiques de vérification sur nos formations Hygiène grâce à la lumière noire utilisée sur nos actions:
 
 
 

Il faut bien saisir que pour nettoyer pour la santé, il faut aller au-delà de ce qui est visible. Outil ludique qui plait beaucoup aux stagiaires sur nos formations hygiène des locaux,Blanchisserie,Restauration. La lumière noire est utilisée en complément de nos prélevements de surfaces...

Excellent support également pour nos audits et en vérification... avec les stagiaires... après..

 
 
 

Pour notre expérience, nous avons choisi un endroit qui n’avait pas été nettoyé depuis un petit moment mais qui était quand même utilisé....

 Etonnant non?
 
            Eric Tardieu
         formateur au CAC FORMATIONS

 

 
 
 

 

Vous croyez avoir tout vu sur la saleté ? Éteignez la lumière pour voir plus clair !
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Faire certifier sa Blanchisserie aux normes RABC

6 Février 2022 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Blanchisserie, #Hygiène, #Hébergement Vie sociale

Une blanchisserie a pour première mission de fournir un linge propre, agréable au toucher, bien sec, repassé, dégageant une agréable sensation de fraîcheur. Mais cela ne suffit pas. Elle doit assurer en plus la sécurité de ses clients et les préserver de toute infection.

« Maintenir un système de management adéquat, former, sensibiliser et s’assurer de l’application des bonnes pratiques font partie de nos priorités stratégiques pour satisfaire nos clients avec une qualité d’entretien et de maitrise de l’hygiène au niveau de leurs attentes. »
 

La norme RABC : un engagement qualité


Les exigences de prévention contre la contamination microbiologique des personnes, des produits et des matériels sont croissantes.
« Le certificat de conformité à cette norme apporte la garantie officielle de la qualité hygiénique des articles textiles depuis leur traitement dans les unités jusqu’à leur mise à disposition chez les clients. A ce titre elle répond parfaitement aux exigences de nos clients en matière d'hygiène. »
 
« Les établissements de santé (hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, etc.) sont soumis à des procédures de certification qui évaluent leur qualité de prestation. La mise en place d’une démarche qualité selon la méthode RABC fait partie des éléments d’appréciation de la HAS – Haute Autorité de la Santé – lors des visites des experts dans le cadre de la procédure de certification des établissements de santé. C’est pourquoi, cette démarche est vivement recommandée pour une blanchisserie qui traite du linge hospitalier. »

La certification RABC permet aux établissements de santé de qualifier ou d’évaluer leurs prestataires. La méthodologie d’analyse et de maîtrise des risques s’articule autour de 7 principes fondamentaux :
▪ Analyser les dangers microbiologiques associés aux processus, au produit et au personnel.
▪ Déterminer comment maîtriser ces risques
▪ Définir le niveau cible et la tolérance pour chaque point de maîtrise.
▪ Mettre en place un système de surveillance des points de maîtrise.
▪ Prévoir des actions correctives en cas de dépassement des limites critiques.
▪ Établir des procédures de vérification du système RABC.
▪ Établir et maintenir à jour la documentation garantissant la traçabilité.

C’est à l’issue d’un audit de deux jours, réalisé par un auditeur externe  que l’atelier blanchisserie de l’Établissement et service d’aide par le travail (ESAT) reçoit la qualification RABC. Ce nouveau label est reconnu dans le milieu des blanchisseries professionnelles.

Cette norme fixe les bonnes pratiques concernant la maîtrise de la bio contamination et est conçue dans la perspective d’une intégration future au système qualité ISO 9 001.

Elle garantit pour le client que l’atelier blanchisserie applique les mesures et les procédures de maîtrise des risques microbiologiques pour une meilleure organisation du circuit du linge : réception et tri, circuit du linge sale, différentes étapes en blanchisserie (barrière aseptique et marche en avant), traitement du linge en zone propre, rangement et distribution.

Une préparation est bien entendu nécessaire pour satisfaire aux nouvelles exigences en matière de matériel et de procédures. De nouvelles habitudes sont à mettre en place, autant en interne que chez les clients. Après une période probatoire de six mois, un nouvel audit, validé par experts hygiénistes confirmeront ce label, puis la fréquence des contrôles passera tous les des 3 ans .

Notre organisme du secteur du travail protégé et adapté depuis 1993, avec nos intervenants spécialisés, connaissant bien également l'accompagnement des usagers accueillis.

 Vous souhaitez être accompagné dans cette démarche au travers de la mise en place de la D.A.C ( déclaration annuelle de conformité) R.A.B.C pour vos clients?

Ce gage de qualité et de rigueur est bien sûr un plus vis-à-vis d’une clientèle aux exigences croissantes en matière d'hygiène du linge et de crédibilité clientèle (collectivités, secteur médical et médico-social).

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formation Sécurité Santé au COVID 19 en ESAT

9 Août 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Moniteurs d'ateliers, #Accompagnement professionnel, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène, #Accompagnement psychologique, #Entreprise adaptée, #Entretien des locaux

Sécurité et santé des travailleurs :une formation tournée vers les usagers d'ESAT.
  •  

Dans le cadre du COVID-19, les mesures nécessaires sont celles préconisées par le Gouvernement, en particulier les mesures prises pour respecter les gestes barrière et les règles de distanciation.

A ce titre la formation pratique des travailleurs d'ESAT,salariés est essentielle autour de repères simples  pratiques sur les ateliers et accessibles à tous. la formation d'une à deux journées, est réalisée par nos intervenants Hygiène Qualité ,connaissant bien les publics du travail protégé.Celle-ci privilégiant l'approche terrain  des ateliers des participants.(jeux pédagogiques)les supports imagés et ludiques est accessibles à tous.

Programme de formation ci dessous:

Aux termes de la loi, « l’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé physique et mentale des travailleurs. Ces mesures comprennent des actions de prévention des risques professionnels, des actions d’information et de formation, la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés » et il doit veiller à « l’adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l’amélioration des situations existantes ».

Ainsi, il n’incombe pas à l’employeur de garantir l’absence de toute exposition des salariés à des risques mais de les éviter le plus possible et s’ils ne peuvent être évités, de les évaluer régulièrement en fonction notamment des recommandations du gouvernement, afin de prendre ensuite toutes les mesures utiles pour protéger les travailleurs exposés.
C’est au regard de ce cadre que doivent être définies les obligations respectives des employeurs mais aussi des salariés.

Il incombe à l’employeur dans la situation actuelle de :
- procéder à l’évaluation des risques encourus sur les lieux de travail qui ne peuvent être évités en fonction de la nature du travail à effectuer ;
- déterminer, en fonction de cette évaluation les mesures de prévention les plus pertinentes ;
- associer les représentants du personnel à ce travail ;
- solliciter lorsque cela est possible le service de médecine du travail qui a pour mission de conseiller les employeurs, les travailleurs et leurs représentants et, à ce titre, de préconiser toute information utile sur les mesures de protection efficaces, la mise en oeuvre des « gestes barrière » ;
- respecter et faire respecter les gestes barrière recommandés par les autorités sanitaires.

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formation  Sécurité Santé au COVID 19 en ESAT
formation  Sécurité Santé au COVID 19 en ESAT
formation  Sécurité Santé au COVID 19 en ESAT
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Quel masque pour quelle protection?

4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Blanchisserie, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

Les grandes lignes du plan de déconfinement ont été présentées ce mardi 28 avril à l’Assemblée par le Premier ministre Edouard Philippe. Le port du masque en tissu a notamment été évoquée, de même que son obligation dans certains lieux publics. Mais comment reconnaître un masque homologué, et s’assurer qu’il est vraiment efficace ? On vous éclaire.
 

Pour éviter une deuxième vague de l’épidémie après le déconfinement progressif, le port du masque dans les lieux publics semble indispensable. Le gouvernement souhaite le rendre obligatoire dans les transports, et l’adoption généralisée de cet accessoire est vivement recommandée de façon plus large, en complément des gestes barrières (lavage fréquent des mains, distanciation sociale, usage de mouchoirs à usage unique…).

Masque grand public : de quoi s’agit-il ?

La pénurie de masques chirurgicaux et FFP2, réservés au personnel soignant, a donc conduit à la naissance d’un nouveau type de protection : le masque “grand public”. Confectionnés en tissu, ces masques anti-postillons ont pour objectif de limiter la propagation du virus. Ils doivent pour cela être en mesure de filtrer 70 à 90 % des gouttelettes de salive émises par celui qui le porte.

 

De nombreux tutoriels sont disponibles sur Internet pour fabriquer soi-même son masque. À ce jour, il est recommandé de s’appuyer sur le document AFNOR Spec – Masques barrières pour les réaliser. C’est en effet sur ce modèle que s’est appuyée la cinquantaine d’entreprises françaises ayant alloué leur chaîne de production à la confection de ces protections, et qui ont d’ores et déjà reçu une homologation.

La DGA et l’IFTH testent les masques avant de les homologuer

Pour être homologués, les masques sont envoyés à la Direction générale de l’armement (DGA) et à l’Institut français du textile et de l’habillement (IFTH). Ces organismes ont mis en place un protocole de test, afin d’évaluer la perméabilité des masques, et d’estimer le nombre de lavages auxquels ils peuvent résister.

Dans ce diaporama, nous vous expliquons notamment comment reconnaître un masque homologué, et nous vous livrons quelques astuces pour vérifier son efficacité.

Masque grand public : obligatoire dans les transports ?

Au vu des récentes déclarations du gouvernement, il est peu probable que le port du masque soit rendu obligatoire dans tous les lieux publics. En revanche, “les transports sont un des cas où le port du masque pourra être obligatoire à compter du 11 mai” a indiqué le Premier ministre Edouard Philippe dans son allocution du 19 avril. “Nous sommes en train d'étudier les conditions dans lesquelles cela pourra être mis en œuvre”, a-t-il précisé.

Une mesure qui serait loin d’être suffisante, selon l’Académie nationale de médecine, qui recommande un port du masque généralisé à toute la population, dès lors qu’elle quitte son domicile.

Une mesure “impossible à appliquer” chez les jeunes enfants

Du côté des salles de classe, aucune position officielle n’a été adoptée par le gouvernement à l’heure où nous écrivons ces lignes. Le Conseil scientifique estime toutefois que “pour les collégiens/lycéens, pour lesquels la compréhension est bonne et l’éducation au port de masque est possible, le port de masque doit être obligatoire”.

 

Il reconnaît que cette mesure est, en revanche, “impossible” à appliquer en maternelle, et difficile à mettre en chez les élèves les plus jeunes du primaire. "Il est très compliqué de demander à un enfant de 10 ou 11 ans en école primaire de porter un masque toute la journée", a déclaré, de son côté, le ministre de la Santé, Olivier Véran au micro de France Inter.

sources Medi Site

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4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Hygiène, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

Coronavirus : le vinaigre blanc peut-il vraiment désinfecter ?
 
Pour lutter contre la propagation du coronavirus, vous êtes nombreux à avoir pris conscience de l’importance des mesures d’hygiène. Particulièrement populaire, le vinaigre blanc est connu pour ses propriétés nettoyantes et antiseptiques naturelles. Mais est-il efficace pour neutraliser le coronavirus ? Réponse.
Coronavirus : le vinaigre blanc peut-il vraiment désinfecter ?

Neutraliser le coronavirus est devenu aujourd'hui l'obsession de nombreux Français. Gel hydroalcoolique, eau de Javel... Vous ne lésinez pas sur les moyens. Particulièrement populaire pour l'entretien de la maison, le vinaigre blanc est un nettoyant écologique, efficace pour entretenir poignets de portes, plans de travail, vaisselles, chaussures ou autres surfaces.

 

Le vinaigre blanc peut-il venir à bout du coronavirus ? Les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies apportent une réponse claire.

 

Le vinaigre blanc ne peut rien contre le coronavirus

"On ne sait pas avec certitude combien de temps le virus responsable de la COVID-19 survit sur les surfaces mais il semble qu’il se comporte comme les autres coronavirus, explique l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les études (et les informations préliminaires sur la COVID-19) tendent à montrer que les coronavirus peuvent persister sur les surfaces quelques heures à plusieurs jours".

Il existe des désinfectants chimiques qui peuvent tuer le Covid-19 sur les surfaces, partage encore l'OMS. On mentionne notamment les désinfectants à base d'eau de Javel ou de chlore, de solvants, d'éthanol à 75 %, d'acide peracétique et de chloroforme.

Pour éliminer le virus, les produits ménagers doivent contenir au moins 70 % d'alcool

Si vous êtes nombreux à miser sur le vinaigre blanc lorsque vous récurez vos surfaces, il ne peut, hélas, rien contre le coronavirus, semble-t-il.

Pour éliminer le virus, les produits d’entretien doivent contenir "au moins 70% d’alcool", nous apprennent les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies. En outre, la Direction générale de la santé (DGS), interviewée par nos confrères de Franceinfo n'identifie "aucune situation où il est spécifiquement recommandé face à l’épidémie ".

Désinfectants : quelques mises en garde

Pour neutraliser le coronavirus, l’eau de Javel s'avère l'alternative idéale. "La Javel est un virucide, ce qui n'est pas le cas du vinaigre blanc. Même s'il y a d'autres produits détergents qui sont des désinfectants efficaces, autant recommander la Javel, qui est connue de tous", déclare la Direction générale de la santé.

Néanmoins, attention. Ce produit ménager ne doit pas être utilisé n'importe comment. Il peut provoquer des brûlures lorsqu'il entre en contact avec la peau. En outre, ses émanations peuvent causer maux de tête et nausées. Il est donc proscrit d'appliquer la Javel à outrance, et surtout pas sur la peau ou sur les denrées alimentaires.

sources MédiSite

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4 Mai 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers, #CONDITIONNEMENT, #Hygiène, #Reconnaissance professionnelle

 

Coronavirus : ces travailleurs handicapés, nouveaux «héros» dans l'ombre des soignants

Une quarantaine d'usagers d'ESAT de région parisienne produisent chaque jour du matériel indispensable à la prise en charge de patients en réanimation. Rencontre.

Une salariée de Tech'Air au travail.
 

Si le personnel soignant, applaudi chaque soir à 20 heures par les Français, est en première ligne contre le coronavirus, d'autres héros apportent, à leur manière, une aide indispensable. Derrière les murs de l'ESAT (Établissements et services d'aide par le travail) des ateliers Tissonvilliers, à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), s'organise aussi la lutte contre le Covid-19. Tous les jours, une quarantaine de salariés en situation de handicap de l'entreprise Tech'Air - réquisitionnée par le ministère de la Santé - sont sur le pont, faisant fi des risques liés à la pandémie qui touche une grande partie de l'Europe.

 

Leur rôle sur le terrain est d'une importance cruciale : fabriquer en grande quantité des composants essentiels (capteurs, valves) aux respirateurs artificiels qui servent en service de réanimation. «Habituellement, nous avons environ 130 employés sur le site. Aujourd'hui, il y a une quarantaine de volontaires qui sont présents», relate au Figaro le directeur de l'ESAT , Henri-Aurélien Chopinaud. Tous ont des déficiences cognitives ou mentales. Très fier de ses troupes, il ne tarit pas d'éloges sur leur attitude «héroïque» : «Avec la lutte contre le coronavirus, ils se sentent vraiment utiles pour la société. Il y a un réel sentiment de fierté chez eux de jouer un rôle clé dans ce combat».

 

Loin du confinement de millions de Français, les employés de Tech'Air s'activent des heures durant dans les «salles blanches» (pièces où la concentration particulaire est maîtrisée afin de minimiser l'introduction de particules, NDLR). Équipés de blouses, de masques et de gants, ils soudent des fils larges comme un cheveu sur un dispositif d'aide respiratoire. Une technologie de pointe qui permet notamment à la machine de détecter si le patient respire, et en quelle quantité. Depuis le début de l'épidémie, le nombre de commande est passé de 400 par jour à plus de 2000. «Tout le monde est mobilisé pour honorer ces commandes. Mais nous ne devons pas jeter toutes nos forces dans la bataille d'un coup, nous devons nous économiser parce que cette situation risque de durer», tempère Henri-Aurélien Chopinaud.

«On est en deuxième ligne»

Un employé de Tech'Air.
Un employé de Tech'Air. Tech'Air.

Pour les valeureux soldats de Tech'Air, pas question, pourtant, de se ménager. Venir au travail en ces temps de confinement est une victoire en soi. Anne, 48 ans, est capable de produire entre 500 et 600 composants en une seule journée. «Je suis très fière de ce que je fais, indique-t-elle. C'est important parce que j'ai l'impression de contribuer à sauver des vies. Il n'y a rien de plus beau». Non loin d'elle, Philippe, 63 ans, ajoute, modeste : «On a besoin de nous, donc on répond présent». «On n'est pas en première ligne comme les soignants, mais on peut dire qu'on est, disons, en deuxième ligne», lâche-t-il néanmoins. Investi d'une mission d'intérêt public, il ne pouvait concevoir de rester chez lui confiné avec son épouse : «Je travaillerai tant que je peux parce que je me sens plus utile en aidant les hôpitaux que chez moi. Vous savez, nous aussi on est sur le front, on fait le maximum pour aider, mais les gens doivent de leur côté respecter les consignes du gouvernement».

 

Béatrice, 43 ans, est pour sa part fière de montrer à ses enfants les machines sur lesquelles elle travaille depuis plusieurs années à la télévision. «En ce moment, on les voit tout le temps. C'est une fierté. Je me dis qu'on contribue à sauver des vies. Et mes enfants me posent des questions sur mon travail maintenant», indique-t-elle dans un sourire. Pour le moment, le moral est bon. Le sentiment de participer à l'effort national fait tenir les troupes. Mais la cadence est infernale, et la crise risque de durer encore plusieurs semaines.

«On est un petit village gaulois. On tiendra le temps qu'on pourra», affirme Henri-Aurélien Chopinaud. Outre l'aide aux malades, qui se multiplie partout en France, ce dernier tire une autre fierté de cette situation : «Nous montrons à tous que ce sont des personnes en situation de handicap qui prennent soin des Français. La solidarité est l'affaire de tous».

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COVID 19 en ESAT: Outils et gestes à acquérir pour tous!

20 Avril 2020 , Rédigé par CAC-FORMATIONS Publié dans #Accompagnement professionnel, #Moniteurs d'ateliers, #Blanchisserie, #Hygiène, #CONDITIONNEMENT, #Entreprise adaptée, #H.AC.C.P Hygiène alimentaire, #Entretien des locaux, #Hebergements pour adultes EPHAD Maintien à domicile

La protection des usagers et salariés de nos établissement constitue la préoccupation majeure !

Nous proposons une action de formation accessible à tous lisants et non lisants,autour des mesures barrière du COVID 19 ,dans l'exercice  des métiers de chacun au quotidien... Cuisinier, ouvrier espaces verts, conditionnement,blanchisserie.... moniteur d'atelier.. ect... Tous concernés!
Autour de gestes simples... mais essentiels du lavage des mains,de l'utilisation du masque ou des gants... des notions de croisements... sales propres.. ( sur les profession de l'alimentaire comme de l'hygiène du linge ou des locaux..) à travers cette formation  directement sur le terrain... Celle-ci reprend en situation pratique les gestes à faire et à ne pas faire...Sous la direction du docteur BOUISSET,nos intervenants Hygiène sont tous des professionnels de base du secteur protégé ,connaissant bien les réalités du secteur...
 
Pour votre projet contactez nous :administration@cac-formations.net
Contact Bertrand VERBANCK  05 63 94 74 79 www.cac-formations.fr
 
 COVID 19 en ESAT: Outils et gestes à acquérir pour tous!
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